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mardi, 15 avril 2008

Revue de presse : ROBERT SPIELER REPOND A LIBE STRASBOURG

Libé Strasbourg  

876083128.jpgPOLITIQUE - Ancien député du Front national, Robert Spieler a décidé de quitter la présidence du mouvement régionaliste d'extrême droite Alsace d'Abord, qu'il avait fondé en 1989. Après son résultat médiocre aux municipales à Strasbourg (2,17 %, contre plus de 9 % en 2001), Robert Spieler souhaite "participer à titre personnel et de façon très active au Comité d'initiative pour la refondation" (une tentative de rassemblement de l'extrême droite hors du FN), dont une première réunion a eu lieu fin mars, avec, entre autres, Bruno Mégret (MNR), et l'ex-membre du bureau politique du FN, Jean-François Touzé. 

 

Cette nouvelle orientation est-elle une conséquence de votre mauvais score aux municipales ?
L'analyse que j'ai faite du résultat des dernières élections, c'est que toutes les stratégies ont échoué. Dans l'électorat, il y a une sorte de nervous breakdown : les personnes n'y croient plus, à force de divisions et de tensions entre les uns et les autres. Le FN s'est effondré et ne représente plus une espérance. Pour en redonner une, ça passe par une structure en forme de fédération, plutôt que par un parti qui fleure bon le culte du chef.

 

Vous renoncez à la défense du "régionalisme" ?
Je reste membre de base d'Alsace d'Abord, je reste fidèle à mes idées régionalistes et européennes, même si je prône au niveau national l'union de toutes les sensibilités face aux périls qui montent dans notre société : immigration, islamisation, paupérisation. Ce sont des enjeux qu'il faut traiter de manière beaucoup plus large que les idées régionalistes.

 

Mais qu'est-ce qui vous rapproche de Bruno Mégret ?
Mégret et Touzé, c'est un peu pareil. Il y a quelques mois, ils étaient dans une démarche assez nationale. L'un et l'autre ont évolué vers le respect de l'idée régionale. On peut être partisan de la petite région tout en respectant l'idée de nation - je dis nation, pas Etat - et en prônant l'Europe de la puissance.

 

C'est quoi, "l'Europe de la puissance" ?
Villiers et Le Pen disent qu'ils sont partisans de la nation. Or, ce qu'ils défendent, c'est l'Etat-nation. Moi, je prône l'affaiblissement des Etats-nations, avec le glissement des questions militaires et diplomatiques vers l'Europe.

 

Vous n'avez pas encore prononcé le mot "identitaire", que vous utilisiez beaucoup ces deux dernières années...
J'aime bien ce mot parce qu'il définit assez bien ce que nous sommes, même si les Identitaires ont une démarche différente de la nôtre.

Recueilli par T.C.

23:45 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Tags : strasbourg, synthèse nationale, alsace, politique, droite, mnr | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 12 avril 2008

Le MNR soutient toutes les initiatives pour la refondation...

La stratégie d’union avec le FN n’a pas donné les résultats qu’on en espérait. Il nous faut donc élargir notre démarche et mettre en oeuvre une stratégie de rassemblement pour préparer la refondation et la réémergence de notre famille politique. La création du Comité d’initiative pour la Refondation va dans ce sens et, à ce titre, le MNR la soutient.

 

Comme le bureau national du MNR en a pris acte, la stratégie d’union avec le FN n’a pas répondu à nos attentes malgré les avantages que nous en avons tirés sur le plan médiatique et auprès des sympathisants de la droite nationale. À la Présidentielle, malgré le soutien désintéressé accordé à Jean-Marie Le Pen, le MNR n’a pas pu mener campagne. Aux Législatives, aucun accord n'a pu être trouvé et les Le Pen ont même placé un candidat face à Bruno Mégret. Aux Municipales et aux Cantonales, il en est allé de même. Aucune liste d’union n'a pu se constituer de façon loyale. Les seules qui ont pu l’être l’ont été avec des candidats en rupture de ban avec le FN. Quelques jours avant le scrutin, Le Pen qui passait sur France 2 au journal de 20 heures a même consacré la moitié de son temps de parole à attaquer Bruno Mégret. Quant à sa fille, elle a déclaré vouloir la mort du MNR et ne cesse de mettre en cause son président.

 

Le rassemblement, pas l’union

 

Il est donc temps de tirer les conclusions de cette situation et de préparer la relève en menant une stratégie de rassemblement avec tous ceux qui souhaitent le renouveau de notre famille politique. Le MNR va maintenant consacrer tous ses efforts à cette stratégie de refondation, qui passe par le rassemblement et la rénovation. C'est dans cet esprit qu'il soutient toutes les initiatives allant dans ce sens et notamment le Comité d'initiative pour la Refondation qui vient d’être constitué.

 

Cet organisme nouveau n'est pas un parti politique mais une structure qui a pour objet de préparer la refondation. Il s’agit de rassembler toutes les bonnes volontés qui veulent créer une force politique nouvelle capable d'imposer la réémergence de notre famille politique lorsque le sarkozysme aura définitivement échoué et que le lepénisme aura cessé de peser.

 

Le MNR entend par ailleurs multiplier à la base les contacts et les actions avec toutes les bonnes volontés d’où qu’elles viennent. Il soutiendra toutes les initiatives de rassemblement dès lors qu’elles visent à la refondation de notre courant politique et qu’elles intensifient notre combat. Dans cet esprit, le MNR va lancer une campagne de terrain contre l’islamisation du pays.

 

Florence Mazole

 

Source : Le Chêne n°57, avril 2008

Robert Spieler : Comité d'Initiative pour la Refondation

Communiqué de Robert Spieler :

 

J’ai décidé de renoncer à toute responsabilité au sein d’Alsace d’Abord et de quitter la présidence du mouvement que j’ai créé en 1989 avec Jacques Cordonnier.

 

Je souhaite en effet participer à titre personnel et de façon très active au Comité d’Initiative pour la Refondation.

 

Les menaces qui pèsent sur notre civilisation exigent une réponse appropriée qui passe par une refondation de la droite populaire et de conviction et le large rassemblement de toutes les énergies. Les résultats décevants de toutes les listes municipales se réclamant de notre famille politique démontrent que la désunion nous affaiblit et qu’unis, nous serions plus forts.

 

Régionalistes, identitaires, partisans de l’idée de Nation ou d’Europe de la puissance doivent demain se retrouver dans un même élan. Je suis partisan du rassemblement des énergies, en dépassant les différences, et refuse la tentation illusoire de la respectabilité, tout autant que le repliement sur ses vérités et les crispations groupusculaires.

 

J’ai décidé de participer à l’initiative de rassemblement qui verra le jour le samedi 1er juin à Paris, lors d’une Convention nationale.

 

Une première réunion, destinée à préparer cette Convention, a eu lieu le 29 mars, en ma présence et celle d’une quarantaine de cadres, dont une quinzaine de conseillers régionaux. (...)

 

Fidèle à mes convictions, j’entend incarner dans ce rassemblement la sensibilité régionaliste.

 

vendredi, 11 avril 2008

Revue de presse : Un nouveau parti naît des divisions au sein du Front national

1887039487.gifSource :

Jean-Yves Camus Rue 89

 

La crise interne au Front national commence à avoir les conséquences prévues : les mauvais résultats électoraux de 2007, la ligne politique "modernisatrice" de Marine Le Pen et le non-règlement de la question de la succession de son chef, génèrent des départs et des scissions. Un processus qui risque de remettre en cause, à terme, une des principales réussites du FN entre le milieu des années 80 et celui des années 2000, à savoir sa capacité à maintenir réunies les différentes tendances antagonistes du "camp national", toujours prompt à se déchirer sur des questions de personnes, de stratégie ou d’idéologie.

 

Un nouveau mouvement est donc né le 29 mars à Paris, selon l’hebdomadaire "Minute". A la réunion de lancement de cette nouvelle formation, qui n’est pas un parti mais qui a vocation à le devenir, une fois la base élargie, participaient le directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie, le président du mouvement régionaliste Alsace d’abord, Robert Spieler, et Bruno Mégret, toujours à la tête d’un Mouvement National Républicain (MNR) maintenu en survie artificielle.

 

La particularité de ce regroupement est de déjà pouvoir compter sur des élus dans les conseils régionaux : deux en Lorraine (le catholique traditionaliste François Ferrier et Jean-Philippe Wagner), un en Ile-de-France (Jean-François Touzé) et un dans le Nord-Pas-de-Calais (François Dubout, qui vient d’être suspendu du FN pour avoir retiré la liste qu’il présentait aux municipales de Calais, afin de favoriser la victoire de l’UMP sur le maire sortant communiste).

 

Deux sous-familles d'extrême-droite qui s'opposent

 

La nouvelle structure devrait adopter son nom le 27 avril, se doter d’une direction en juin et tenir son premier congrès en décembre. La démarche à peine lancée suscite déjà des remous: le Bloc identitaire a en effet démenti la participation de sa représentante dans le Nord (...) à la nouvelle formation, alors que son nom figurait parmi les initiateurs de la démarche.

 

Les grands axes idéologiques du mouvement sont le "refus de l'immigration-invasion et de l'islamisation", "la défense des valeurs fondamentales de notre civilisation" et "la construction d'une Europe de la puissance". Un triptyque qui confirme que l’extrême-droite, dans toute l’Europe, se divise désormais en deux sous-familles opposées : l’une, qui reste fidèle au nationalisme de l’Etat-nation et peut évoluer vers une conception multiethnique de celui-ci (c’est l’orientation de Marine Le Pen); et l’autre, qui se réclame d’un nationalisme européen, fondé sur l’Europe des régions et des ethnies, totalement anti-intégrationniste et islamophobe.

 

mardi, 18 mars 2008

NOUVELLE DONNE, OFFRE NOUVELLE...

Pour être par tradition carthaginoise, la mauvaise foi n’en aura pas moins été, à l’occasion de ce second tour des élections municipales, la chose du monde la mieux partagée, et ce sur l’ensemble des rives du monde politique.

 

Mauvaise foi de l’UMP, de ses ministres et de ses petits marquis, refusant dans une unanimité orchestrée depuis l’Elysée de reconnaître l’ampleur d’une défaite à peine masquée par les demi-victoires de Marseille et du cinquième arrondissement de Paris.

 

Mauvaise foi du PS qui, enrobé des étoffes trompeuses de son succès, se croit autorisé à voir dans le raz de marée rose la marque d’un rejet par le corps électoral de ce qu’il avait adoré en avril et juin derniers, alors que ce sont, à l’évidence, outre les héliogabaleries sarkoziennes - et bien au contraire d’on ne sait quel refus d’une politique droitiste et volontaire -, la timidité de la rupture, la tiédeur des réformes, les reculs par rapport aux promesses faites – et en particulier faites au nom de valeurs et principes qui sont ceux de la droite nationale - qui ont conduit nos compatriotes, déçus et inquiets, à sanctionner le pouvoir en place.

 

Mauvaise foi des amis de Bayrou, tentant de faire oublier leur opportunisme congénital en le dissimulant sous de grandes considérations philosophico-politiques dignes des heures les plus glorieuses du MRP.

 

Mauvaise foi, enfin, d’une direction lepéniste qui, depuis huit jours, ne cesse de claironner « un rétablissement spectaculaire » du FN, là où, malheureusement, il n’y a qu’effondrement et chaos.

 

Il nous faut maintenant tirer les conséquences de ces élections. La première est que la gauche et l’extrême gauche, l’une faisant à l’autre la courte échelle et réciproquement, constituent une menace que nous ne devons pas négliger. Je suis de ceux qui pensent que la France et l’Europe ne se relèveraient pas d’une nouvelle expérience socialiste, surtout si elle devait être menée sous le regard vigilant de la LCR.

 

La deuxième est que l’UMP, comme jadis le RPR, continue de se voiler la face pour ne pas voir que seule la reconnaissance de la droite nationale, de ses propositions, de ses principes et de ses valeurs, est de nature à rendre confiance à son électorat, un électorat si proche du nôtre qu’il lui arrive de se confondre, comme on a pu le voir au printemps dernier.

 

La troisième conséquence est que les succès de demain, succès auxquels je crois de toute mon âme et de tout mon esprit, dépendent justement de notre capacité à nous organiser et à proposer aux Français une offre nouvelle, dans la fidélité à ce que nous sommes et à ce que nous croyons, dans la continuité des combats que nous menons depuis si longtemps, mais aussi dans la nécessaire évolution et la recherche politique des voies qui mènent aux responsabilités du pouvoir, qu’il soit local ou national. Une offre nouvelle qui corresponde à l’attente des cette masse de Français qui ont voté pour Nicolas Sarkozy en avril dans l’espoir qu’enfin s’opère une vraie rupture. Une offre nouvelle affirmant la nécessité de  l’autorité de l’Etat, de l’organisation des libertés individuelles, collectives et économiques, de l’équité sociale et de la construction d’une Europe de la puissance au sein de laquelle la France aurait un rôle moteur.

 

Pour la droite nationale, une page est tournée. Et rien de ce qui était dans cette page ne se rouvrira.  Ceux qui croient à je ne sais quel rafistolage, à je ne sais quel effet cathartique provoqué par l’arrivée de je ne sais qui, je ne sais comment et je ne sais pourquoi y faire, à la tête du Front, en seront pour leurs frais.

 

L’heure n’est même plus à l’union. Elle est au rassemblement.

 

C’est cette nouvelle offre politique que nous devons organiser avec tous ceux qui, au sein de la droite nationale et de la droite identitaire, veulent aller de l’avant sans vaine nostalgie, avec espoir et enthousiasme, dans le respect de chacune des sensibilités et des appartenances, dans la collégialité et, si possible, la fraternité militante.

 

Cela, nous devons le faire vite, avec prudence et raison, mais aussi volonté et imagination, et… sans nous retourner.

 

Jean-François Touzé

17/03/08 

14:07 | Tags : politique, municipales 2008, synthèse nationale, fn, ump, modem | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 mars 2008

NE PAS CEDER AU RENONCEMENT !

Les résultats sont là. De la pseudo droite à la vraie gauche, personne ne peut vraiment crier victoire, personne ne peut non plus pleurer sa défaite. On parle de "rééquilibrage" et chacun trouve de bonnes raisons d’être, en apparence du moins,  plus ou moins satisfait.  On entend tout et le contraire de tout pour justifier tel ou tel recul ou telle ou telle avancée et, finalement, tout le monde s’en remet aux résultats de dimanche prochain qui, probablement, seront le remake de ceux du premier tour. 

 

Curieusement, les Français semblent être satisfaits de la situation dans laquelle ils sont, puisqu’ils ont cautionné par leurs votes les partis du Système en place. L’insécurité est en voie de banalisation, l’immigration-invasion ruine notre pays, l’islamisation de nos villes progresse de jour en jour, la pression fiscale est de plus en plus forte et la classe politique totalement corrompue mais, qu’importe, nos compatriotes qui prennent encore le temps d’aller voter encouragent joyeusement les partis responsables de cet état de faits.

 

Pourtant, il y avait bien, dans une centaine de villes, une alternative à cette situation infernale. Cette alternative, c’était la droite nationale. Or, partout, celle-ci est laminée. Malgré le courage exemplaire et la détermination de ses candidats et de ses militants, les résultats du Front national se liquéfient et l’ensemble du mouvement nationaliste et identitaire en subit les conséquences.

 

Le FN, qui apparaissait encore, il n’y a pas si longtemps que cela, comme le recours salutaire pour notre pays, a quasiment disparu de la scène politique nationale et locale. Voilà le résultat de la politique menée depuis quelques années par sa direction. Le Pen et ses acolytes avaient un boulevard devant eux, ils n’ont pas su l’emprunter, pire encore, ils se sont engouffrés tête baissée dans une impasse sur sa gauche où personne ne les attendait. Voilà où les bêtises accumulées de l’un (la dernière en date étant ses élucubrations –que nous préférons mettre sur le compte de la sénilité- à propos de rapports fantasmés entre certains mouvements nationaux et l’UIMM...) et le fanatisme imbécile des autres auront mené le FN, que tout destinait à un avenir radieux. Tant pis pour lui, tant pis pour nous et, hélas, tant pis pour la France...

 

Car la France, je persiste à le croire, a besoin d’un vrai mouvement national et identitaire digne de ce nom pour la remettre dans le droit chemin. Notre famille politique ne doit pas céder au renoncement. Ce ne sont pas quelques versatilités électorales qui vont entamer notre détermination.

 

Depuis des semaines, certains parmi nous imaginent déjà les bases du renouveau, car renouveau il y aura. Finalement, cette hécatombe du lepénisme moribond aura le mérite d’éclaircir le paysage et de permettre à l’ensemble de notre famille politique d’envisager différemment l’avenir. Fidèle à sa vocation d’être un outil au service du redressement national, la revue Synthèse nationale, avec les réseaux qui se sont formés autour d’elle, entend participer à cette nouvelle croisade. Mais, de tout cela, nous reparlerons très bientôt...

 

Roland Hélie

 

10:53 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, fn, front national, mnr, identitaires, municipales, synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 février 2008

Strasbourg dans la rue solidaire des Serbes du Kosovo...

Samedi 23 février à Strasbourg, à l'appel de Robert Spieler et des organisations nationales et identitaires de la ville, une manifestation qui a rassemblé 250 personnes s'est déroulée en faveur des Serbes du Kosovo. Voir article ci-dessous.

samedi, 09 février 2008

IL FAUT SAUVER LE CHOUAN CHIRE...

Est-ce la fin de Chiré ?

 

C’est le cri d’alarme lancé par Mickaël Savigny. Voici des extraits de sa correspondance :

 

”Nous devons en priorité expliquer ce titre. Chiré existe depuis plus de 40 ans […]. Pendant 35 ans, il y a eu une progression régulière : chaque année, nous faisions mieux que l’année précédente. J’ai commencé seul en 1966, nous étions 18 en 2000, mais depuis cinq ans tout a changé ; nos bilans comptables sont négatifs, le nombre des abonnés aux revues baisse, le volume des ventes de livres régresse lentement […].

 

Pourquoi tout cela ?

 1) Une baisse considérable de la lecture sérieuse ces dernières années […],

2) Nos amis sont de plus en plus divisés […],

3) L’entraide entre groupes amis est réduite au minimum, quand elle n’est pas inexistante ou négative […],

4) Un essai de mise en place d’une succession s’est assez mal terminé […].

 

Si vous ne m’aidez pas, le bilan 2007 sera encore mauvais et ce sera la fin partielle de nos activités […]. Il faut réagir, car cela devient grave. La période que nous vivons forme une génération de jeunes gens sans culture sérieuse […]. Faites lire de bons ouvrages, constituez de bonnes bibliothèques, donnez le goût des bons livres […]. QUE CHACUN D’ENTRE VOUS PASSE UNE COMMANDE D’UN MONTANT MINIMUM DE 30,00 €, FAITES CET EFFORT !”

 

SA D.P.F - B.P 1 - 86190 Chiré-en-Montreuil

Tel: 05.49.51.83.04 Fax: 05.49.51.63.50

@: sadpf.chire@gmail.com 

 

NDLR : Depuis 40 ans, les Editions de Chiré mènent un combat exemplaire pour la défense de la France française et de la Tradition catholique.

Même si nous ne partageons pas toujours leurs prises de position, force est d'admirer le travail effectué par Jean Auguy et ses amis.

Les Editions de Chiré font partie de notre patrimoine nationaliste, ne les laissez pas tomber...

 

Roland Hélie

10:05 Publié dans Livres | Tags : chiré, livres, éditions, poitiers, synthèse nationale, tradition, vendée | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 05 février 2008

INTERVENTION DE JEAN-FRANCOIS TOUZE AU COLLOQUE DE SYNTHESE NATIONALE SUR L'ISLAMISATION :

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Nous publions ici les principaux extraits du discours de Jean-François Touzé, Conseiller régional d'Ile-de-France et Président de Convergences nationales, prononcé à l'occasion du colloque de Synthèse nationale sur l'islamisation qui s'est tenu à Paris samedi 2 février dernier :

 

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

 

Je voudrais, avant toute chose, remercier Roland Hélie pour son invitation et saluer l’initiative qu’il a prise en organisant ce colloque.

 

Si nous sommes réunis ici ce samedi après-midi, c’est bien évidemment que nous sommes tous conscients de la menace mortelle que fait peser, non seulement sur nos villes, mais sur notre nation, notre continent, notre civilisation, la vitalité puissante, bouillonnante et offensive – même s’il s’agit encore d’une offensive contenue – d’un Islam qui, depuis quelques décennies, servi par une démographie galopante, par la lâcheté ou l’inconscience des gouvernements occidentaux, mais aussi par les erreurs d’une Amérique aveugle, a retrouvé en lui-même la force de sa marche collective et sa volonté eschatologique, tant il est vrai que demeurent chevillés au corps mystique de l’inconscient musulman, l’attente et l’espoir, pour les uns du rétablissement du califat, pour les autres du retour de l'Imam caché et du triomphe du Mahdi.

 

Cette menace, Mes Chers Amis, nous ne pouvons l’aborder de manière parcellaire. Elle est globale, tout à la fois planétaire, nationale et civilisationnelle. Lire la suite.

dimanche, 03 février 2008

Colloque contre l'islamisation de nos villes : UN NOUVEAU SUCCES POUR SYNTHESE NATIONALE !

2072dbce083c874f313693101cb09564.jpgRamener l’islamisation des villes de France au cœur de la campagne pour les élections municipales, tel était l’objectif du colloque organisé samedi 2 février à Paris par Synthèse nationale.

 

Devant 220 participants, parmi lesquels nous notions la présence de l’ancien député de l’Oise Pierre Descaves, de la députée flamande Hilde De Lobel, de Tim Rait, haut responsable du British National Party, venu spécialement de Londres pour assister à cette réunion, du Docteur Xavier Dor, de plusieurs conseillers régionaux du Front national, de nombreux élus municipaux et de candidats nationaux et identitaires aux municipales, les orateurs qui se sont succédés à la tribune ont abordé à la fois l’historique de ce phénomène, sa dimension dramatique et ethnocide et les solutions pour le combattre.

 

9701cfea94c4465d71f6c51442f3d611.jpgAinsi, Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité, nous a magnifiquement brossé le vrai visage de l’islam conquérant en démontant les mécanismes mensongers de ceux qui essaient de nous faire croire que l’islam serait une religion d’amour et de tolérance. Il nous rappela que l’islam est aujourd’hui plus dangereux pour notre civilisation que le fut le communisme hier.

 

Lui succéda Nicolas Tandler, écrivain et journaliste, qui écrit régulièrement dans notre revue. Celui-ci évoqua, avec la précision que nous lui connaissons, la collaboration entre certains syndicats et l’islamisation dans le monde du travail.

 

Patricia Vayssière, courageuse conseillère municipale MNR de Montreuil, fut ovationnée par l’assistance lorsqu’elle expliqua comment elle a réussi à faire annuler la subvention accordée par la municipalité communiste de sa ville pour la construction d’une grande mosquée. Elle encouragea, en leur donnant le mode d’emploi, tous ceux qui ne veulent pas voir surgir un minaret dans leur ville à en faire autant.

 

e597e97503036fc6aaf978a33f5b2089.jpgLa première partie de ce colloque se termina par l’intervention de notre amie Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français, qui nous rappela, avec réalisme, qu’un Congolais, fût-il de nationalité française et parfaitement intégré dans la société, ne fera jamais pour autant un véritable Européen. De la même manière qu’un Européen qui vit en Afrique ne sera jamais un Africain.

 

Après une pause au cours de laquelle les participants purent visiter les stands et se fournir en livres et revues, la seconde partie du colloque débuta par l’exposé remarquable de Jean-Claude Rolinat, qui se livra à un état fort détaillé et alarmant de l’enracinement de l’islam dans le monde et de l’expansion de celui-ci en Europe.

 

3587015bdb0855d7d52bc0e96bb428af.jpgMartin Peltier, dont le talent de polémiste n’est plus à démontrer, mit une note d’humour digne de Marcel Aymé pour désigner les vrais responsables de l’islamisation de la France et de l’Europe.

 

8a341cf476821c4128ecdba0f987f09c.jpgJean-François Touzé, conseiller régional d’Ile-de-France et président du Club Convergences nationales, appela au rassemblement de toutes les énergies dans le nécessaire combat politique pour que la France redevienne la France et que l’Europe reste européenne. Il conclut en citant la fameuse réplique du Général de Castelnau, « Il faut que Verdun tienne, donc Verdun tiendra ». CQFD.

 

 

9f9a09e75bed9c31547abef7c08f905e.jpgRobert Spieler (ici en compagnie du célèbre acteur Dominique Zardi), Président d’Alsace d’abord et candidat à la mairie de Strasbourg, appela à la résistance nationale, identitaire et européenne. Il présenta au public parisien la vaste campagne européenne lancée le 17 janvier dernier à Anvers à l’initiative de Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, contre l’islamisation de nos villes. En organisant ce colloque, Synthèse nationale donne le coup d’envoi de cette campagne en France.

 

569e60f53e6f4c76473e8396ff520be6.jpgAprès avoir passé la parole à Myriam Baeckeroot, conseillère régionale d’Ile-de-France et initiatrice du Comité pour le respect du NON français, qui expliqua, deux jours avant la ratification du Traité de Lisbonne, le sens de son combat, Roland Hélie conclut cette journée en rappelant l’esprit unitaire qui anime Synthèse nationale et en insistant sur la nécessité absolue de faire de la lutte contre l’islamisation le fer de lance de la résistance identitaire.

 

Les actes de ce colloque seront publiés dans la prochaine livraison de Synthèse nationale.

 

Synthèse nationale tient à remercier Radio Courtoisie, Rivarol, Novopress, Altermedia ainsi que les nombreux bulletins, sites et blogs (qu'ils lui pardonnent de ne pas pouvoir tous les citer) qui lui ont fait l'amitié d'annoncer ce colloque.

vendredi, 01 février 2008

Face à l’islamisation de nos villes : LA REPONSE NATIONALE ET IDENTITAIRE !

Au mois de mars prochain, se dérouleront les élections municipales. A cette occasion, les partis du Système vont, une fois de plus, se plier devant les diktats des associations musulmanes et vont rivaliser d’ingéniosité pour faire élire des représentants de ces associations, souvent contrôlées par les islamistes, dans les conseils municipaux. Petit à petit, le processus d’islamisation se renforce, grâce à la lâcheté de ceux qui ont perdu les repères de leur civilisation.

 

Depuis 2001, date des précédentes élections municipales, combien de villes ont vu surgir un minaret ? Combien de cantines, gérées par les communes, se sont pliées aux règles culinaires imposées par les musulmans ? Combien de cités sont tombées sous le contrôle des groupes de hors-la-loi issus de l’immigration ?

 

La force des conquérants réside trop souvent

dans la faiblesse des conquis.

 

Pourtant, qu’on le veuille ou non, l’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois, elle n’est pas une terre de mosquées ni de minarets… Un nombre croissant d’Européens veut que cela reste ainsi !

 

Voilà pourquoi, afin de proposer des solutions efficaces face à l’islamisation rampante de notre société, la revue Synthèse nationale vous invite à assister au colloque qu’elle organise :

 

SAMEDI 2 FEVRIER

de 14 h 00 à 17  h 30

 

Salons Athènes Services

8, rue d’Athènes Paris IXème

(métros Saint-Lazare ou Trinité)

Participation : 7,00 €

 

  Interventions de :

Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité

Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Martin Peltier, journaliste et écrivain

Jean-Claude Rolinat, écrivain

Robert Spieler, candidat à la mairie de Strasbourg

Nicolas Tandler, journaliste et écrivain

Jean-François Touzé, conseiller régional d’Île-de-France et

Président de Convergences nationales

Patricia Vayssière, conseillère municipale MNR de Montreuil (93).

 

 

Tract 02 02 08 SN Paris.pdf

lundi, 21 janvier 2008

Anvers : Robert Spieler représentait la France à la réunion de lancement de l'association européenne "Les villes contre l'islamisation"...

Source : Strasbourg d'abord

 

Jeudi 17 janvier, s’est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l’organisation européenne « Les villes contre l’islamisation ».

 

Plusieurs mouvements nationaux et identitaires européens, à l’initiative de Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams Belang, ont décidé de créer cette structure commune afin de renforcer et de coordonner leur lutte contre l’islamisation de nos villes.

 

Parmi les fondateurs, figurent le FPÖ (Autriche), représenté par son Président Heinz Strache ; Krake Rolf du Danemark, qui a lancé des initiatives populaires contre l’islamisation de son pays ; Henrique Ravelo, Président espagnol de Tierra y Pueblo ; Adriana Bolchini, d’Italie, ancienne proche de Oriana Fallaci et responsable d’une association anti-islamique ; Markus Wiener-Wolter, dirigeant de Pro Köln, association citoyenne très puissamment implantée à Cologne et farouchement opposée à l’implantation de mosquées-cathédrales dans Cologne.

 

Robert Spieler figure également parmi les fondateurs de l’association et entendait représenter tous ceux qui, qu’ils soient nationalistes, régionalistes ou identitaires, sont résolus à ce que l’Alsace et la France ne deviennent jamais terre d’Islam.

 

Après la conférence de presse, les membres fondateurs de l’association se sont retrouvés devant la mairie d’Anvers en brandissant des panneaux représentant une mosquée géante dans un cercle rouge barré.

 

Dans l’après-midi, visite sous protection policière du quartier du nord d’Anvers, totalement islamisé. Edifiant et significatif de ce que l’on peut attendre dans les prochaines décennies…

 

Dans la soirée, grande réception avec les militants et les élus d’Anvers du Vlaams Belang : 800 personnes.

 

L’association « Les villes contre l’islamisation » va organiser dans les prochaines semaines de nombreuses réunions de sensibilisation face à la menace islamique, partout en Europe.

 

La première de ces réunions aura lieu le samedi 2 février à Paris sous l’égide de la revue et de l’association Synthèse Nationale, dirigée par Roland Hélie.

 

Robert Spieler et Hilde De Lobel, députée du Vlaams Belang, seront présents lors de cette réunion et présenteront au public les objectifs de cette initiative.

vendredi, 18 janvier 2008

Lancement à Anvers de l’organisation européenne “Les villes contre l’islamisation”

Hier jeudi, s'est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l'organisation européenne "Les villes contre l'islamisation". Plusieurs mouvements identitaires ont en effet décidé de créer une structure commune au niveau européen afin de lutter contre “l’islamisation” de nos cités.

 

Cette organisation a été présentée à la presse par le porte-parole du Vlaams Belang, notre ami Filip Dewinter, le président du FPÖ (Autriche), Heinz-Christian Strache, et le président du mouvement régionaliste et identitaire Alsace d’Abord, Robert Spieler, qui représentait aussi la revue Synthèse nationale.

 

Afin de sensibiliser les Européens contre la menace islamique qui pèse sur nos villes, des grandes réunions publiques vont être organisées dans les prochains mois à Rotterdam, Paris, Londres, Milan, Cologne, Madrid, Strasbourg...

 

Samedi 2 février, lors du colloque organisé par Synthèse nationale à Paris, Robert Spieler expliquera le sens de cette démarche qui s'inscrit parfaitement dans la vaste réaction identitaire que nous entendons susciter.

jeudi, 10 janvier 2008

SDF : Le premier journal identitaire de la rue...

Solidarité des Français, la dynamique association dirigée par Odile et Roger Bonnivard, vient de lancer le premier journal identitaire de la rue. Au moment de la conception de ce journal, Odile m’avait fait l’honneur de me demander une contribution.

 

Voici le texte de celle-ci :

 

« Ils » n’ont plus le « monopole du cœur » !

 

Tout le monde se souvient du fameux « vous n’avez pas le monopole du cœur » adressé par Valéry Giscard d’Estaing à l’attention de François Mitterrand lors d’un débat télévisé quelques jours avant l’élection présidentielle de 1974. Si cette célèbre réplique eut le mérite de retarder de sept ans l’accession au pouvoir de Mitterrand, elle eut aussi l’inconvénient d’assurer la victoire à Giscard et à son « libéralisme avancé » dont on subit encore aujourd’hui, trente-quatre ans plus tard, les conséquences dramatiques. N’oublions en effet jamais que ce fut sous le septennat giscardien que furent adoptées des lois aussi ethnocides  que celle sur le regroupement familial ou celle sur l’interruption volontaire de grossesse… Il faut dire qu’à cette époque, la division du monde en deux blocs faisait que le choix en politique était limité.

 

Mais revenons à ce fameux « monopole du cœur » qui fit, des décennies durant, la fortune d’une gauche arrogante et intéressée qui, se cachant derrière cette formule magique, pouvait mieux exploiter les peuples et assurer ainsi son petit confort à la fois matériel et idéologique. Ce « monopole du cœur », imposé par la démagogie et le mensonge, qui justifia ici les pires atrocités et là les plus mesquines magouilles politico-financières, fut une sorte de miroir aux alouettes que personne n’osait vraiment briser de peur d’apparaître comme le pire des réacs que la terre n’ait jamais porté. Et pourtant…

 

Et pourtant, il y a cinq ans, une première brèche est apparue. Une brèche certes beaucoup plus discrète que la télévisuelle réplique giscardienne de 1974, mais une brèche bien plus profonde et ô combien plus dangereuse pour les menteurs patentés de la gauche caviar. Cette brèche, c’est l’association Solidarité des Français qui l’ouvrit en lançant à Paris les premières distributions de soupe au cochon. Cassant ainsi le mythe d’une gauche qui elle seule saurait être généreuse, les militants parisiens de SDF, qui furent vite rejoints par Solidarité alsacienne à Strasbourg, Solidarietà à Nice et par d’autres initiatives similaires à Marseille, Montbéliard et même en Belgique, ont eut l’immense mérite de remettre les choses en place et de montrer à la France entière que le problème actuel de la pauvreté est, qu’on le veuille ou non, lié à celui de l’immigration.

 

Cette immigration, née de la conjugaison des intérêts d’un patronat peu scrupuleux qui, dans les années 60, voyait en elle une main d’œuvre facile à exploiter, et ceux d’une gauche qui imaginait déjà un prolétariat de substitution capable de lui redonner un jour (le jour où le droit de vote lui serait accordé) les forces électorales qui lui manquent de plus en plus, a eu un effet pervers que seuls les nationaux et les identitaires ont vite dénoncé, à savoir celui de menacer directement l’identité de nos peuples européens. Dois-je préciser que je dis cela sans aucun mépris ni aucune haine contre personne, si ce n’est contre le système qui a engendré une telle situation.

 

En brisant ce monopole du cœur que la gauche s’était injustement attribué, Solidarité des Français, et ses associations satellites, ont imposé une nouvelle dimension sociale à la réaction identitaire que nous entendons susciter dans notre peuple. D’où l’acharnement de la gauche et des ses chiens de garde gauchistes contre cette association que chaque Français conscient et responsable se doit de soutenir.

 

Roland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

 

SDF n°1 Hiver 2008.pdf

lundi, 07 janvier 2008

Le dernier livre de Jean-Claude Rolinat : Frères d'Europe.

Ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous sépare...

 

 

Avec ce propos encourageant, Jean-Claude Rolinat (que nous avons eu le plaisir de recevoir lors d'une conférence de SN à Paris en décembre dernier - NDLR) nous rappelle dans son ouvrage que notre peuple doit avoir vocation à retrouver enfin cette nécessaire volonté politique qui saura nous réconcilier avec l’idée impérieuse que notre vieille Europe a encore un destin.

 

Pas ce « machin », pour reprendre le mot du Général De Gaulle quand il évoquait l’Otan. Pas cette Europe mercantile à l’âme vile que nous mitonnent des technocrates bouchés à l’émeri et payés pour ça. Pas cette « usine néo-soviétique » que dénonce l’auteur, qui voudrait uniformiser nos existences, nos traditions, nos coutumes, qui veut aujourd’hui pasteuriser nos fromages et interdire à nos vaches de péter tranquillement pour nous fondre dans l’écologiquement correct. Cette Europe qui, demain, si nous laissons faire, aura transformé nos villages en éco-musées et nos villes en ghettos juxtaposés, promoteurs d’un exotisme que nous n’aurons plus besoin d’aller chercher ailleurs.

 

L’auteur évoque au contraire avec fierté nos racines européennes . Nos racines gréco-latines, chrétiennes, omniprésentes dans notre patrimoine culturel. Elles se rappellent en effet à notre bon souvenir avec nos monuments, nos cathédrales, mais aussi par cette inimaginable richesse que nous ont léguée peintres et sculpteurs de talent, musiciens, écrivains et scientifiques de génie. Bref, tout ce qui a permis ce miracle civilisationnel dont nous sommes les héritiers, que le monde entier nous envie et qu’une certaine bêtise ambiante accompagnée d’un vieux et chronique sentiment de culpabilité voudrait associer à tant de vilenies. Qui voudrait nous faire oublier qui nous sommes pour nous fondre dans un magma culturel creux, multiculturel et multiethnique.

 

Dans cet ouvrage riche, documenté, passionnant et qui constitue une véritable invitation au voyage, Jean-Claude Rolinat insiste sur cette parenté charnelle qui unit les peuples européens. Il évoque ces valeurs communes qui doivent nécessairement forger notre communauté de destin.

 

Un passé commun, certes, avec ses déchirements, ses guerres fratricides qui ont jalonné notre histoire européenne et qui sont autant de leçons à méditer pour envisager sereinement notre avenir ensemble.

 

Il décrit et explique cette histoire commune si compliquée, avec ses bouleversements qui ont souvent conduit à redessiner nos frontières. Il nous raconte l’éclatement du bloc soviétique, la réapparition d’Etats souverains et aussi les incertitudes de ceux qui souffrent de facto d’un manque de cohésion nationale.

 

Il nous donne des pistes sur la façon dont doit s’organiser cette Europe, comment les patries européennes peuvent s’unir autour de projets communs en gardant leur identité propre.

 

Il devient en effet urgent qu’émerge cette Europe militaire et diplomatique que nombre d’entre nous appelons de nos voeux, pour faire justement ce que nous n’avons pas su faire avec les Etats-Unis et que nous saurons encore moins faire si nous continuons à nous affaiblir ainsi, face aux puissances émergentes du bloc asiatique.

 

L’Europe ne passionne pas les foules, on peut le comprendre. A la lecture de ce livre intelligent qui se lit d’un seul trait, on se rend compte que c’est un tort.  

 

Chantal Spieler

 

Frères d'Europe, éditions Dualpha, 369 pages, 35,00 €.

En vente à la librairie Primatice, 10, rue Primatice 75013 Paris

19:35 Publié dans Livres | Tags : europe, voyages, littératures, synthèse nationale, bruxelles, chantal spieler, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 03 décembre 2007

Le 27 octobre en clip...

27 octobre 2007 : 1er anniversaire de la revue Synthèse nationale à Paris.

 

mardi, 30 octobre 2007

Quelques témoignages sur la réunion de Synthèse nationale :

Nous publions ici quelques témoignages relevés ici et là sur les blogs et qui nous vont droit au coeur...

 

Sur le site de Luc Pécherman, Conseiller municipal FN de Lille :

 

de7232c123112466685b1d38aeeb58f0.jpgToujours curieux, votre serviteur s’est rendu le samedi 27 octobre à Paris pour le premier anniversaire de la revue dirigée par Roland Hélie.

 

Un franc succès que ce rassemblement de toutes les composantes de la droite nationale. Le thème, fédérateur, de cet après-midi était  "Comment défendre notre Identité ?". Voilà certes la question centrale que devrait se poser tout homme politique responsable, car de ces quelques mots découlent tous les choix que nous devrons faire pour assurer la prospérité et le bien-être de notre peuple.

 

Des orateurs de tous horizons se sont succédés à la tribune pour y exposer leurs points de vue, rappelant tous que ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous divise. Vous pouvez trouver un compte-rendu des tables rondes sur le site de Synthèse nationale.

 

A noter la présence de Jean-François Touzé, Conseiller régional d'Ile-de-France, Membre du Bureau politique du Front national.

 

Je me réjouis, à titre personnel, de cette excellente initiative. Devant les menaces mortifères qui pèsent sur les Nations Européennes, l’union doit primer sur les luttes de chapelles. C’est dans le même esprit que je suis convaincu aussi que le sursaut de nos patries passera par une collaboration plus étroite des droites nationales européennes, avec nos camarades du Vlaams Belang, de l’UDC, du Fpö… car nous partageons tous bien plus qu’une vision politique, nous partageons une conception du monde.

 

Sur le site de Marie-Paule Darchicourt, élue FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais :

 

6d87d8214020f5f532243db9edaba0e0.jpgUn beau succès que le colloque organisé samedi 27 octobre à Paris par Synthèse nationale : une salle archi-bondée, des stands débordés à la limite de la rupture de stock, des rencontres et des retrouvailles inattendues, une ambiance de fraternelle camaraderie, des échanges fructueux, des prises de position amicalement exposées et finalement la définition claire, nette et précise de l'ennemi commun, somme toute le plus puissant des rassembleurs.

 

Le compte-rendu détaillé de ce premier pas vers un "grenelle de l'identité", pour utiliser un terme à la mode, pourra être consulté sur le site de la revue politique, et culturelle nationale et identitaire de Roland Hélie ; une désormais incontournable revue qui a édité à cette occasion un numéro hors-série regroupant toute une série de fort intéressants entretiens sur le thème primordial de notre identité. Rendez-vous pour "l'an deux"... n'en doutons pas dans une salle plus grande ! 

Sur le site du réseau Durandal :

Une quinzaine de jeunes identitaires d’Ile de France ont participé au premier anniversaire de la revue Synthèse nationale. L’affluence fut à la hauteur de l’évènement, puisque la salle réservée était largement pleine pour recevoir les différents orateurs. Quant à l’accueil fait par le public aux différentes composantes des Identitaires (Bloc Identitaire, Solidarité Kosovo, Jeunesses Identitaires ou le CEPE) a été plus que chaleureux.

Autre motif de satisfaction, et non des moindres, notre vision de l’engagement militant ainsi que notre vision politique sont devenues la ligne à suivre pour la majorité des intervenants. Les thèmes Identitaires comme l’enracinement local, l’action associative, le lobbying politique ainsi que le combat culturel étaient dans toutes les bouches au cours de cette journée. Le discours de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, un des plus applaudi, était évidemment en totale adéquation avec les aspirations des personnes présentes dans la salle.

Nous souhaitons une nouvelle fois un bon anniversaire à la revue de Roland Hélie.